Balades au bord de la musique, en lisant les animaux et en écoutant un livre

Bonjour, c'est moi... le blog d'Annie.

Qui peut m'expliquer pourquoi ma créatrice me délaisse?

J' ai tant de choses à vous dire et à vous montrer...

De plus, avec cet éveil des consciences prévu pour fin 2012

je trouve qu'il faut encore profiter des instants "anciens" avant d'accéder

à une dimension si élevée que la plupart des gens  seront largués !

Le plus important à savoir est que nos deux hémisphères cérébraux vont  travailler

en simultanéité, enfin!

Depuis le temps que cela aurait du se produire...

Mais avant de rejoindre la sixième dimension, il faut se préparer, évoluer, lâcher prise

se centrer, calmer le jeu.  Se débarrasser des mémoires cellulaires envahissantes.

Les laisser passer, bonnes ou mauvaises ( surtout mauvaises) leur dire chao,

bon vent, je m'épure, me nettoie, m'aseptise.

Ma fréquence vibratoire  doit augmenter (à contrario de vos salaires qui  eux  stagnent  depuis

plusieurs années) afin de s'accorder aux 13 hertz de notre planète. Faut suivre le mouvement

et ne pas craindre  la survenue d' événements si contradictoires qu'il  vaut mieux 

 laisser venir, on verra bien ...

Alors que fait-elle ? Toujours pas là !

Je suis un blog autonome, émancipé.

Allez, un peu de méditation en attendant... Chut !...

 Voilà, on connaissait le Paraben, l'Hexylène glycol, le butylène glycol, voire le propylène glycol

encore que ce dernier soit moins virulent que les 2 autres.

A présent je vous présente les très cancérigènes agents de toxicité employés dans

les crèmes de beauté, solaires et même les produits de puériculture.

Vous ferez comme vous voudrez, mais moi, je jette !

Et pourtant je l'aimais ma crème pour le corps de Rochas et que dire de cette pommade

bleue à l'huile de pastel, le top du top au niveau de sa texture et de son parfum...

Abonnée à des revues de santé par les plantes, je viens de lire que le danger vient

 de tous les dérivés de pétrole,  paraffine, huile de silicone, et aussi oxyde de zinc,

dioxide de titanium, benzophénone et le E216 : hydroxybenzoate de propyle

ou propylparabène.

Alors cet ambre solaire " golden machin truc..." superbe qui sent bon et rend la peau

phosphorescente et dorée, je viens de l'acheter, après avoir succombé à sa  sublime

pub : poubelle san regrêt !!

Voilà, mesdames, je partage les mises en garde que je viens de lire, par solidarité.

Ne me remerciez pas, jetez à tour de bras et achetez bio ! En grande distribution

 il y a Sobio ou Biopha qui sont pas mal et sinon direction Horizon vert ou Chlorophylle.

Tout ça pour la poubelle !!!

    Oui, j'ai vu les montagnes couvertes de neige fermer les avenues

de la ville de Grenoble, telles de gigantesques  apparitions

 suspendues dans le ciel, mastodontes au dos voûté,

hérissés parfois mais toujours blancs...

    Oui j'ai vu le Rhône et la Saône baigner les pieds de la

ville de Lyon. J'ai découvert une région que je ne connaissais

pas. 

   Nous sommes passés par le point central de la France,

avec son monument représentatif, et avons rêvé

devant une scène de vie, peinte en trompe- l'oeil sur un grand mur

lisse, à Lyon : le "mur des Canuts". 

    Mais ce qui m'aura le plus marquée, c'est ma rencontre avec

 Marie-Antoinette dite "Toinon" .

   Toinon est une jeune dame de 86 ans, pleine de vie, d'énergie,

d'humour et d'amour. Son accueil a été généreux pour nous six !

   Cette dame nous a reçus comme des princes, avec une énergie 

de quinquagénaire voire trentenaire !  La vieillesse répond donc

à l'idée que l'on s'en fait. Pour elle, ce n'est pas un problème, tout 

son corps clame : " jeune je suis, jeune je reste !"

   Mon autre rencontre inoubliable a eu lieu auprès de Léna.

Ce bébé de 8 mois possède un "quelque chose" que je ne peux

vous dévoiler ici. Cela ne m'appartient pas, mais je vous invite à

découvrir d'après photo, le charisme et l'aura de cette toute

petite fille exceptionnelle.

    Puis, la surprise nous est venue d'une boîte à lettres sur

laquelle j'ai pu lire mon patronyme ( chose rare en France puisque

mon patronyme est espagnol) mais le plus  drôle c'est le nom

qui l'accompagne. Pour ceux qui me connaissent, je vous laisse

le découvrir, pour les autres sachez que mon compagnon est hauboiste...

      La boîte à lettres surprenante

      Le mur des Canuts.

Tout ce que vous voyez là est factice. J'ai voulu poser le pied

sur la première marche et me suis heurtée à un mur bien lisse et bien vertical.

      Idem, tout est faux, jusqu'à la banque populaire !

      Détail de cette banque idéale...

Tradition lyonnaise oblige...

      Léna...petit Bouddha, au regard ironique sur le monde.( sur la photo elle a trois mois)

      Le centre de la France.( sous le chapiteau )

Toinon, occupée avec son apn. ( Le mien fait des photos troubles !)

Et puis j'ai rencontré un paquebot, dans un appartement. 

Insolite, non?

Ceci est la réplique exacte du "Pasteur". Tout y est, jusqu'aux danseurs, sur le pont. 

Un travail de fourmi réalisé par Michel Bonnet,  passionné de maquettes et très habile.

L'orchestre miniature

Vue de Lyon, depuis Notre Dame de Fourvière

Dans ce contexte économique difficile où les prix des énergies

telles le pétrole, l'électricité et le gaz, subissent des

ascensions himalayennes, pourquoi ne pas revenir

 à des valeurs plus écologiques et moins onéreuses?

Mon ami Philippe a construit un four à pain.  Depuis qu'il

en a fait l'acquisition, sa vie a changée. 

Cuire ses aliments dans son four représente un art de

vivre. Il l'allume le matin, avec des ceps de vigne, surveille

le feu afin qu'il ne s'éteigne, jusqu'à ce que la température

atteigne 280 degrés. Il commence alors par les grillades,

positionnant ses côtes de porc à l'entrée de son four.

Ensuite il retire le bois et les cendres, et attend que la

température descende à 250 degrés pour enfourner

ses pains façonnés maison. Ensuite lorsque la

température continue à baisser, il peut mettre ses

viandes rôties ou en râgout, ses poissons,  puis ses

gâteaux et enfin  ses entremets ( riz au lait ). 

Cette activité se déroule calmement en une journée. 

Pour abriter son four, Philippe a construit une dépendance

accueillante, nantie de son évier, de son établi, d'un

réfrigérateur et d'une table. Il y fait bon et de là s'échappent,

par la grande baie vitrée, les fumets   alléchants

d'une cuisine rustique et saine.

Philippe et son four, en "Vestale" ( au masculin). Il nourrit

le feu pour le faire durer. 

Il dépose la nourriture à cuire avec un immense respect, telle une offrande

sur un autel.

Et voici la première opération, les côtes de porc dans ce four

brillant comme un soleil...

     Cette année, pas de lendemain de fête difficile  : ni migraine,

ni langue chargée !

     Quel bonheur de se réveiller avec l'oeil vif et l'énergie prête

à soulever des montagnes !

     Il faut dire que j'ai changé. Oui, la simple vision d'un foie gras

me transporte dans les  affres du dégoût, imaginant la

souffrance d'un animal à qui l'homme a infligé une torture

monstrueuse : le gavage.

     J'imagine la bête dans ses déjections  diarrhéiques et son

vomi constant d'animal gravement  atteint.

     Cela suffit à me faire oublier que j'ai aimé manger

cette hideuse maladie qu'est la stéatose du foie.

     Si vous avez déjà souffert d'une "gastro" carabinée, vous

comprendrez l'état dans lequel se trouvent les canards et les oies

sacrifiés sur l'autel de la si jolie  fête de Noël. Sauf que cet état

est permanent chez les pauvres bêtes et qu'elles baignent dans un 

jus immonde généré par un "feu d'artifice" non glorieux "tiré" par

tous les orifices  du petit corps supplicié.

     Alors, qu'ai-je consommé durant ces fêtes? 

     Des bulots, des coquilles Saint-Jacques, des rougets, des gambas

sauvages, du calamar.  Ce sont des animaux aussi, me direz-vous.

     Mais au moins, ceux-là auront vécu une vraie vie avant de mourir.

     Il faut bien se nourrir tout de même !  

     Je ne veux plus de souffrance animale dans mon assiette ! 

     Je veux contribuer aussi à boycotter ces abattages inhumains

de mammifères dont l'élevage  intensif est la cause de plusieurs

famines sur la planète.

    Et donc, j'ai passé un super réveillon avec mon amie Anne et mon 

compagnon Bernard. Le champagne nous a rosi les joues, le feu

pétillait, il faisait  bon, au calme. La pierrade, au centre de la table,

nous chauffait le coeur de sa convivialité. Les petites sauces à l'ail

ou à la crème fraîche enrobaient  chaque bouchées de  piquant

ou de douceur. Cette recette de pierrade m'a d'ailleurs valu

la victoire  (la veille) à  un concours  radiophonique.

     Je vous en reparlerai...

La pierrade toute simple 

Portrait de famille, sérieux. 

portrait de famille, moins sérieux !