La suite d'"Adieu, terre d'Espagne" est en cours.
Je dirais même qu'elle est très avancée : le livre a pris sa forme définitive,
sur Word, avec ses photos, ses pages de garde, ses remerciements etc...
A propos des photos, je suis heureuse du choix que j'ai pu faire au milieu de ce fatras
d'images issues du passé. J'ai eu un mal de chien à les rendre propres, nettes ( plus ou moins)
et surtout à leur donner une cohérence dans le contexte.
Mon principal souci concernait le nombre de pages. Sachant que j'aime le papier bouffant et blanc de préférence, mes 352 pages en "tutu de danseuse" auraient fait un livre trop volumineux par rapport au tome 1.
Donc il me fallait une astuce pour en diminuer l'épaisseur. Alors, de la police 12 je suis passée à 11. Et du coup, 50 pages en moins ! Hop, d'un coup j'ai fait maigrir mon futur bouquin sans régime ni bistouri.
Que reste-t-il à faire à présent ? Le plus assomant : les relectures, les corrections, les rewrittings.
Au bout d'un certain temps je vais saturer, ne comprendrai plus un mot de ce que je lis, ne saurai plus épeler le mot "chat" ( pour appeler cet animal par son appelation), mettrai des accents circonflexes et des tirets partout.
Bref, mon cervau va bouillir, fumer, je n'en pourrai plus, et me mettrai à détester mon manuscrit .
Mais je n'en suis pas encore là. Je viens juste de terminer ma première relecture et jusque-là tout va bien.
Petite photo en noir et blanc pour nous mettre dans l'ambiance des années 40-44.